Un an. 365 jours. Plein d'heures, de minutes, de secondes. Une surdose de bonheur.
Je suis confortablement installée sur mon canapé, je n'ai mal nul part, je suis chez moi, je vois mes pieds si je me penche, je ne suis pas trempée par l'effort, ni affolée par la situation.
Je ne stresse pas de l'incconu, je n'appréhende plus en me posant des questions qui n'auront de réponse qu'avec le temps.
Je ne suffoque plus, je respire.
Je ne rêve plus, je vis.
Je suis juste là. Bien. Paisible. Heureuse. Maman.
Je vous épargne un pavé soporifique romantico-dramatique qui relaterait dans les moindres détails la vie d'une jeune maman solo, admirative des moindres faits et gestes de sa progéniture, de l'accouchement à son premier anniversaire.
Déjà parce que ce post n'est pas sponsorisé par Phénobarbital, et ensuite (et surtout) parce qu'aucun mot ne pourrait le décrire.
Alors, voilà, elle a un an. Et moi un coup de vieux. Mon premier.
Mais merde, qu'est ce que c'est bon !
Titine.
Je suis confortablement installée sur mon canapé, je n'ai mal nul part, je suis chez moi, je vois mes pieds si je me penche, je ne suis pas trempée par l'effort, ni affolée par la situation.
Je ne stresse pas de l'incconu, je n'appréhende plus en me posant des questions qui n'auront de réponse qu'avec le temps.
Je ne suffoque plus, je respire.
Je ne rêve plus, je vis.
Je suis juste là. Bien. Paisible. Heureuse. Maman.
Je vous épargne un pavé soporifique romantico-dramatique qui relaterait dans les moindres détails la vie d'une jeune maman solo, admirative des moindres faits et gestes de sa progéniture, de l'accouchement à son premier anniversaire.
Déjà parce que ce post n'est pas sponsorisé par Phénobarbital, et ensuite (et surtout) parce qu'aucun mot ne pourrait le décrire.
Alors, voilà, elle a un an. Et moi un coup de vieux. Mon premier.
Mais merde, qu'est ce que c'est bon !
Titine.
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